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 Just a taste of fleish... Theresa C. Roderich

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Theresa C. Roderich
Theresa C. Roderich
Fleish
Rôle : Fleish
Emploi : jongleuse
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MessageSujet: Just a taste of fleish... Theresa C. Roderich  Just a taste of fleish... Theresa C. Roderich Empty2013-03-09, 01:17















Ce fameux et irréversible contrat a été signé. Un poids de moins sur tes épaules ou une charge de plus à considérer..? Peu importe, il faut maintenant te présenter. Il est temps de prouver que tu sauras donner une bonne prestation à ces spectateurs en soif de cauchemars éveillés...












Theresa C. Roderich
feat Allison Harvard
Informations

Quel le nom qu’on te donne au cirque? : Fleischfresser ou Fleisch (carnivore ou chaire en allemand)
À quel groupe appartiens-tu?  : Amuseurs Publics
Quel est ton nom complet?  : Theresa Curtis Roderich

Quelle est ta date de naissance? Décembre 1914
Quel est ton travail? : Je suis jongleuse hors paire.
Qu’est-ce qui t’as poussé à vouloir faire ce travail ?  : Avec mon raisonnement sans faille pour la symétrie et les calculs, j’ai vite développé un talent pour la jonglerie qui est devenu une passion en y ajoutant du risque.
En quoi tu te démarques des autres spécimens de ce cirque ? : Jamais je n’ai raté un numéro et je ne me rappelle pas avoir échapper un élément en jonglant. Je manipule tout et n’importe quoi : torches, poignards, machettes… Rien ne m’effraie. Mis à part les seringues... J’ai une précision inégalable et aucune crainte ne m’habite. Je dois dire que j’ai une grande habileté physique lorsqu'il s'agit de précision.
Histoire

Je ne l’ai jamais vraiment comprit en fait. Tout a été trop vite, trop flou et trop médicamenté… Je suis née à Amberg en Allemagne une nuit hivernale de 1914. Mon père était un extrémiste nazi toujours affairé au travail que je n’ai jamais vraiment connu. La seule chose dont j'ai hérité de lui c'est son nom rattaché au mieux comme un ulcère à la plaie: Curtis Roderich. Ma mère était une faible pleureuse incapable de s’occuper de moi et de ma petite sœur. Je ne me souviens pas de leur nom, à celles-là... Ma famille était pathétique et j’y survivais en y étant comme une loque qui n’aime qu'une chose: manger. Et pas n'importe quoi. Je n'ai jamais mis autre chose dans ma bouche que de la viande crue. Le reste m'horripile. Et tout le monde me trouvait bizarre. On me traitait de folle ou de monstre, surtout mon père qui ne ratait pas une rare occasion pour me juger fêlée. Pourquoi..? Ce qui sautait d’abord aux autres étaient sans doute mon visage sans vie. Des grands yeux glauques et vitreux trop grand pour mon petit visage pâle qui fixent longuement sans rien d’autre que la mort aux iris… Je n’ai jamais été expressive et seulement manger amenait l’esquisse d’une faible humeur sur mon visage, un sourire vague… Quoi d'autre qui effrayait les gens..? Il y a aussi le fait que je n’ai toujours mangé que de la viande crue. Son goût exquis est sans doute le seul que je tolère. Puis il y a eut cette phase où cette attirance pour la chaire fraîche s’est mutée en chasse aux animaux que je tuai inlassablement, du rat au chien. Cela attristait ma stupide mère et paniquait mon père qui criait infatigablement à sa femme de me placé en institue psychiatrique. Que voulez-vous… Sentir le pouls d’un être prendre fin dans mes paumes me fascinait et me fascine toujours encore. Surtout si c'était pour le dévorer par la suite. Ce fut exultant lorsque ce fut celui de ma sœur qui disparut entre mes doigts…

Ma faible mère n’aurait jamais eut les tripes de me placé en psychiatrie. C’est mon père, le dernier membre de ma famille que je n’eus jamais vu, qui quémanda la garde et m’emmena à l’hôpital. Oh, j’étais une sage fille jusque là. Je ne m’étais pas débattue une seule fois et acceptai qu’on me rase, qu’on me passe la camisole… Après tout, je n’avais que neuf ans. Qu’aurais-je pu faire contre infirmières et gendarmeries? Je passai là neuf autres années décevantes, pas plus pire que les dernières vraiment. L’infirmière chiche qui s’occupait de moi avait la pitié de m’amener mon plat préféré sinon quoi je me laissais affamée. Malgré tout, j'appréciais sa compagnie. Drôle à dire, mais elle a été la piètre mère que j'appréciais avec dédain, de peu... Le Docteur, un anglais barbu et sévère, me parlait toujours de sa langue natale à la con.Et il me torturait. Mais à part cela, je n’eus pas complètement compris tout ce qui se passait. On me gavait de laudanum qui me faisait rêver sans cesse et on me réveillait aux électrochoc ou pique à glace sur crâne, chose qui échappait à chaque coup à ma conscience qui se rendormait aussitôt. Je crois avoir été un cobaye non difficile pour la science. Et puis de toute façon, mon visage l'exprimait bien: je me sentait morte.

Jusqu’à ce que je m’évade. Comment je m’y suis prise..? J’ai suivit mon flaire. Il y avait ma vision trouble, ce laudanum dans ma bouche qui m’était difficile à avaler, je marchais paresseusement comme une lobotimsée… Puis j’ai sentit l’air frais et rare du vent de l’extérieur. Peut-être cette vague de froid eut réveillé mes sens, mais peu importe, elle était incroyablement agréable. J’ai décidé à cet instant que plus jamais une seringue ne frôlerait ne serait-ce qu’à peine ma peau. Ça a été très vite. J’ai frappé avec ma tête l'infirmière m'accompagnant, étranglé un garde de sécurité, peut-être bousculé un autre – je n’ai que l’image de ce crâne défoncé et inconnu sur la céramique... Puis j’ai courut vers ce vent qui m’emporta à l’extérieur, loin, loin, loin de la psychiatrie infantile. De la neige sous mes pas, le gel qui givrait mes cils... Je me suis réveillée de ma léthargie dans la cale d’un bateau, dans le fond d’un baril vide, toujours une camisole de force m’empêchant de bouger. Je ne sais trop ce que ma cervelle m’a dictée de faire cette nuit là, mais après deux jours de cachette, je me suis retrouvé à Londres. J’ai dû trouver une boucherie et ses couteaux pour défaire ma camisole de force qui me faisait maintenant un chandail à armature et manches trop longues et grignoter quelques morceaux crus pour me donner des forces. Et puis, c’est en me cachant dans une ruelle que j’ai vu cette annonce – par chance que je maîtrisais l’anglais. The Dark Circus... C'était un miracle pour moi. Dieu me tendait un chemin. Là, personne ne me reconnaîtrait ou me jugerait. Et une force irrésistible me convainquait de m’y rendre, ce même sentiment qui éveillait mon âme lorsque je me plaisais à manger ou tuer… C’était un signe. Je devais m’y rendre. Et puis, je passerais invisible dans la foule. C’est ce que je croyais du moins.

Là, j'appris sans difficulté la jonglerie. Avec un peu d'intelligence et compréhension en mathématique, on peut y arriver. Je devins bientôt la meilleure des jongleuses de ce cirque.
Caractère et Tempérament

Je suis pourtant quelqu’un de bien curieuse. Je m’intéresse aux autres et peu m’enjouer facilement sans que cela ne paraisse toutefois. Ne vous méprenez pas à mes apparences de petite gamine stoïque, je suis rusée, malicieuse et vicieuse si je le désire. N’oubliez pas que j’adore faire souffrir les vivants jusqu’à la mort… D’ailleurs, tous ces éléments inspirent trop souvent des malaises aux autres. Une amuseur publique qui créer l’inconfort… Si ce n’était pas de mes talents rapides en jonglerie, on m'aurait renvoyé de ce cirque. Mon tempérament est assez stable, je me fiche complètement de ce que les autres peuvent penser de moi (d'ailleurs je ne suis pas spontanément attiré à avoir des relations avec les autres) et rien ne m’effraie, pas après ce que j’ai pu vivre… Mis à part les seringues qui attisent encore en moi la panique. Et les docteurs en général. Je suis croyante et bien pratiquante à ma manière: tout ce que je fais est bon car je suis la Sainte Marionnette de Dieu. Je suis supérieur à presque tout mon entourage et suis brillante. Je sais être violente, et je tiens au peu de liberté qu'il me reste. Ne m'approchez jamais avec la ferme intention de me ligoter, me piquer ou m'agresser: je mords. Et le goût de ta chair est délicieux, je n'en doute pas.
Caractéristiques Physiques

Comme je l’ai expliqué, je ne suis pas expressive. C’est très difficile de déchiffrer ce qui se trouve dans ma cervelle ou mon cœur. La première chose que l'on remarque chez moi est sans doute mes yeux immenses et globuleux qui vous creuse la prunelle jusqu'au fond de l'âme et qui ne clignent jamais. Je porte un regard «effrayant» selon les autres qui n’inspire que la mort. Mes lèvres ne sourient que rarement et mes mouvements sont assez petits, gracieux et timides. Je crée des malaises dès que quelques est en contact avec moi. Parce que je suis une petite cadavre ambulante. Chétive comme tout, osseuse et anguleuse, je suis peut-être faible mais sais user de mon corps. Mes cheveux plats et châtain ou blond au soleil sont souvent cachés de perruques. Ma peau est pâle comme la porcelaine et mes lèvres sont en forme de cœur.  
H R P

Comment veux-tu qu'on t'appelle? : BoogyLou! =D
Tu as quel âge? : 18 ans
T'es une petite fille ou un grand garçon? FE-FILLEEEEE!
Tu habites dans quel coin de la planète? : Québec
Qu'est-ce qui te passionne? : Écrire, grapher, l'équitation.
Un mot pour te décrire serait... : ZOUMBADOUWOWPIFPIF!
Un Smiley qui te représente...:  Just a taste of fleish... Theresa C. Roderich 3367676816 
Le code de validation est...: Approuvé
Comment as-tu connu The Dark Circus? : Ah-euhm u_u
Que penses-tu du Dark Circus? : C'est parfait comme forum  Just a taste of fleish... Theresa C. Roderich 1141159470 *sort*



©️BOOGYLOU.



Dernière édition par Theresa C. Roderich le 2014-04-20, 13:31, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Just a taste of fleish... Theresa C. Roderich  Just a taste of fleish... Theresa C. Roderich Empty2013-03-09, 01:24

Voiloù voiloù! Terminé!
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Maître Todd
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MessageSujet: Re: Just a taste of fleish... Theresa C. Roderich  Just a taste of fleish... Theresa C. Roderich Empty2013-03-09, 01:31

Parfait. Je te valide!

Bienvenue au Dark Circus, très chère.
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MessageSujet: Re: Just a taste of fleish... Theresa C. Roderich  Just a taste of fleish... Theresa C. Roderich Empty

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