naïa ϟ we stopped looking for monsters under our beds when we realized they were inside us
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Sujet: naïa ϟ we stopped looking for monsters under our beds when we realized they were inside us 2015-02-12, 07:54
céleste withinghall
cause i feel like i'm the worst so i always act like i'm the best
Ce fameux et irréversible contrat a été signé. Un poids de moins sur tes épaules ou une charge de plus à considérer..? Peu importe, il faut maintenant te présenter. Il est temps de prouver que tu sauras donner une bonne prestation à ces spectateurs en soif de cauchemars éveillés...
feat Taylor Marie Hill
Informations
Quel le nom qu’on te donne au cirque? : au cirque tu te prénommes Naïa, signifiant "flot" et rappelant les Naïades, nymphes des eaux. À quel groupe appartiens-tu? : magiciens Quel est ton nom complet? : ta mère, en bonne petite française bourgeoise, décida de te donner le prénom, ma foi fort modeste, de céleste. ton père anglais dut se contenter d'avoir le choix du deuxième prénom, et son dévolue se fit sur leah. ton nom de famille, bien qu'à consonance anglaise, est connut principalement en france pour appartenir à une riche famille mystérieuse et énigmatique, les withinghall
Quel est ton travail? : dans le cirque, tu passes le plus clair de ton temps à divertir les spectateurs par tes tours extravagants en rapport avec l'eau. Qu’est-ce qui t’as poussé à vouloir faire ce travail ? : pour dire vrai, tu n'as pas franchement eux le choix. c'était le cirque ou le trottoir. En quoi tu te démarques des autres spécimens de ce cirque ? : connaissez vous énormément de personne qui ont un contrôle total sur l'eau ?
Histoire
POUPÉE DE CIRE POUPÉE DE SON
Ton père était un riche compte anglais, qui avait réussit à accroître sa fortune en France de manière plus ou moins légale, la plupart du temps en arnaquant d'honnêtes gens qui avaient eut le malheur de vouloir lui confier leurs économies. Habile et ayant des relations haut placées, personne n’était jamais parvenu à le coincer, si tant est que quelqu’un est eut l’idée saugrenue d’essayer. Seul un fou aurait voulu se frotter à lui, et il aurait à coup sûr perdu. Sa réputation n’était plus à faire et il va sans dire qu’un homme avec tant de pouvoirs et de richesses attirait la gent féminine, si ce n’est la captivait. Un temps coureur de jupon et client de filles de joies, notre Casanova parisien finit par passer la bague au doigt d’une richissime bourgeoise française. Si cette union était plus une stratégie politique qu’un réel coup de coeur, il en naquit tout de même une fille unique, Céleste. Quel joli poupon que tu étais ! Néanmoins, tu ne devais pas éblouir suffisamment tes parents puisqu’ils décidèrent de te confier à une nourrice, qui prit grand soin de toi et te chouchouta comme sa propre fille.
Ainsi les premières années de ta vie furent un pêle-mêle entre l’ignorance parentale et la douceur de ta nanny. Si il est vrai que tu souffrais de leur absence, la jeune femme savait te distraire et faire renaître un tendre sourire sur ton visage. Jusqu’à tes huit ans, ton enfance fut rythmée par les thés que tu organisais pour tes poupées, les contes merveilleux de ta nourrice et les parties de cache-cache dans le jardin. Et puis ta mère se rappela soudainement avoir une fille et t’arracha de ton monde enfantin pour faire de toi une vraie dame. Plus d’ours en peluche, de cuisine en plastique ou de jeux d’extérieurs, les dames de bonnes familles ne s’abaissent pas à de telles idioties voyons. La nanny fut vite envoyée au placard, avec le déguisement de fée et les livres de contes.
Toi, petite gamine paumée, tu ne savais sur quel pied dansé, entre la joie de compter enfin pour ta mère et le désespoir de voir disparaître ta seule alliée dans cette maison. Très vite néanmoins tu t'habituas à la situation et compris l’importance de faire ce que l’on te demandait. Il faut dire que tes parents n’étaient pas des plus tendres et les coups partaient à la moindre occasion. Au fil des années, tu devins donc la parfaite réplique de ta mère et si on te reparlait aujourd’hui de ton ancienne nourrice, tu lui cracherais certainement au visage, si cela n’était pas aussi mal-élevé. Hautaine, froide, grinçante et cruelle, tu étais devenue une parfaite petite bourgeoise, au claquement de doigt élaboré faisant accourir les serviteurs et rendant si fière ta mère. Avec le temps, les coups se faisaient plus rare et une sorte de complicité mesquine naquit entre toi et ta génitrice, au grand damne de votre entourage qui en payait les frais.
Sans t’en rendre compte, tu n’étais cependant que la marionnette de ta mère, qui tirait toute les ficelle avec une joie non dissimulée. Hélas pour elle, la poupée prit vit, les fils s’emmêlèrent et le spectacle prit fin dans une immense cacophonie…
MÉFIEZ-VOUS DE L’EAU QUI DORT
Depuis toute petite tu avais pris conscience des choses incroyables dont tu étais capable. En effet, alors que tu avais cinq ans, ta nourrice était venue te donner ton bain et alors qu’elle te savonnait, une bataille d’eau avait démarré entre vous deux. L’eau et les rires giclaient de toutes parts et la salle de bain était en piteux état, si bien que ta nanny arrêta votre jeux pour nettoyer le carrelage avant que ta mère ne vienne et ne décide de la mettre à la porte, ce qui avait bien faillit arriver mainte et mainte fois. Mais tu ne l’entendais pas de cette oreille et alors qu’elle avait le dos tourner, une immense vague d’eau se souleva dans les airs et d’un geste de la main, tu la fit retomber sur la pauvre femme déjà bien trempée. Alors que tu trouvais la situation plutôt comique, la demoiselle était complètement terrifiée à l’idée que tu puisses avoir des pouvoirs, aussi puissant et dangereux. Tiraillée entre l’affection et la peur qu’elle éprouvait pour toi, elle prit le parti de ne rien dire à quiconque, de toute façon, qui la croirait ? Un enfant de cinq ans capable de contrôler l’eau ? N’importe qui la prendrait pour une folle et lui conseillerait d’aller visiter un médecin. Tu développas donc ta faculté sous l’oeil mi admiratif mi inquiet de la jeune femme, sans que tes parents n’en soient au courant.
Quand ta nourrice fut forcée de prendre congé, tu ne songeas pas au danger qui pourrait te menacer si elle décidait de commérer à droite et à gauche. C’est en grandissant pour devenir une véritable peste qu’une inquiétude sourde commença à te ronger : ta réputation, même ta vie, serrait ruinée si cette idiote venait à parler. Comment se trouver un bon parti et fonder une famille si tout le monde te considérais comme une bête de foire ? Pendant quelques années, l’idée que personne ne puisse la croire te suffis à calmer tes démons mais à tes seize ans, lorsque tu la vis au loin par le plus grand des hasard au détour d’une rue, la peur te paralysa. Il te fallait plus. Il fallait être certain qu’elle ne pourrait pas en parler. Ne pouvant compter sur l’aide de ta mère qui n’était pas au courant, tu t’armas de tout le courage dont tu étais capable et utilisas ton don pour la noyer. Qui viendrait à songer qu’une gamine de seize avait tuer son ancienne nourrice grâce à son contrôle de l’eau ? Personne te dis tu. Et effectivement, personne ne vint te chercher des ennuis. On déclara la mort accidentelle, bien que les circonstances soient pour le moins étranges.
Tu finis donc ton éducation sereine, développant toujours ton pouvoir, à l'abri des yeux indiscrets. Personne, pas même les domestiques pourtant si fouineur ne connaissaient l’existence de ton secret. Lorsque tu commenças à fréquenter Thomas, jeune gentleman distingué, tu fis immédiatement le choix de ne rien lui dire. La fortune de ton paternel était certes une très bonne raison pour lui de sortir avec toi, mais la peur de la différence aurait certainement fait fuir le jeune homme. Et ta mère t’avais bien fait comprendre qu’un rapprochement avec la famille de ce dernier ne pouvait que leur être profitable, il ne fallait donc pas la décevoir.
Si tu savais ma pauvre enfant, si tu savais…
JE T’AIME MOI NON PLUS
Cap à franchir dans toute relation sérieuse : la rencontre avec la belle-famille. Les problèmes fréquents que peuvent rencontrer les jeunes filles sont la mésentente avec la belle-mère, ou cas moins courant il est vrai, avec le beau-père. Mais toi tu avais certainement envie d’innover puisque tu choisis tout naturellement d’éprouver des sentiments pour la soeur de Thomas. Imaginez vous un peu l’état dans lequel notre pauvre Céleste était : la voilà amoureuse, sentiment rendant horriblement dépendant et malade, et dont les symptômes sont en tout points semblable à la gastro. Pour ne rien arranger, son dévolue c’était jeté sur un membre de la famille de son promit et pour couronner le tout, pas n’importe qui mesdames et messieurs, une femme ! Y penser te donnais affreusement envie de vomir et la voir déclenchait en toi des envies de meurtres. Tu cauchemardais la nuit, pleurait dans la salle de bain, hurlais en enfouissant ta bouche dans ton oreiller. Plus les jours passaient et plus la situation échappait à ton contrôle. Lila se faisait de plus en plus aguicheuse alors que sa place dans ton coeur grossissait à vue d’oeil. Paradoxalement, la date du mariage arrivait également, et l’excitation de ta mère était un bon remède pour éviter de commettre l’irréparable. Pendant un temps. Car l’irréparable arriva, fatidiquement.
C’était le matin du mariage. Ta mère et les parents de Thomas étaient bien trop occupés à s’occuper des derniers détails pour t’aider à mettre ta robe de mariée. Comme tu n’avais aucune amies, Lila fut assigner à cette tâche et c’est tout sourire qu’elle entra dans ta chambre. Tu te tenais devant le miroir, droite comme un i, le visage crispé. Tu ne portais qu’un corset et une courte jupe de soie, attendant d’être recouvert par l’épaisse robe de tulle blanche. Elle ne se dirigea pas vers le porte manteau qui supportait le tissus blanc. Ses yeux étaient fixés sur toi, tu le voyais dans le miroir et cela te terrifias autant que ça t’excitais. Tu sentis sa main caresser ta cuisse droite, ses lèvres déposées de tendre baiser sur ton épaule gauche, pour remonter dans le coup et y laisser de légères traces rouges. Tu fermas les yeux et laissa échapper un soupir d’aise, que Lila prit comme une invitation à continuer. Les yeux brûlant de désir, il vous était impossible de revenir en arrière maintenant. Elle te poussa tendrement sur le lit et déposa ses lèvres fougueusement sur les tiennes. L’une contre l’autre, heureuses et amoureuses, vous ne virent pas le temps passé et ne purent prévoir l’ouverture de la porte derrière laquelle ta mère poussa un cris horrifiée, bien vite suivit par Thomas et ses parents.
Après cet incident, tout ce passa très vite et tu n’en gardes que des souvenirs flous et confus, ponctués de larmes et de coups. Le mariage fut bien évidemment annuler et les invités priés de rentrer chez eux. L’alliance possible entre les deux familles prit fin et Thomas alla bien vite se consoler dans les bras d’une autre femme, qu’il avait déjà pour maîtresse certainement bien avant. Ton père t’assena de coups sous le regard sévère et outrée de ta mère et tu imaginais sans peine la même chose pour Lila. Après sa rage déversée, ton père te mit à la porte sans le sous et te renias. Ta mère n’osait même plus te regarder et ferma elle même la porte.
A dire vrai, tu ne pouvais même pas leur en vouloir. Toi aussi tu te dégoûtais. Non seulement tu avais commis un adultère le jour même de ton mariage, mais tu l’avais fais avec une femme. Tu avais envie de vomir. D’ailleurs, tu vomis de nombreuses fois ce jour là, la plupart du temps sur toi, pour te punir de ton pêché. Tu te répugnais tellement. Ce que tu venais de faire était tellement immonde. Une femme… Comment avais-tu pus ? Comment avais-tu eux l'audace d’apprécier et de gémir sous ses caresses ? Lila te répugnait encore plus. Cette fille était le diable incarnée. Tu enfouis tes sentiments pour la belle blonde tellement profondément que tu les pris pour de la haine et décida de ne plus jamais avoir affaire avec elle. Ton coeur avait beau hurler son nom et tes fantasmes dessiner ses courbes, il t’étais inimaginable de la revoir un jour.
BIENVENUE A LONDRES, VIVE L’ANGLETERRE
Un jour seulement après ton ignominie, alors que tu errais sur le pont à la recherche d’une auberge sordide qui voudrait bien d’une infâme comme toi, humiliée et sans le sous, tu remarquas un immense navire qui avait pour destination Londres. Ayant un père britannique, tu avais souvent entendue parler de cette ville et de ces merveilles, et la langue n’était en aucun cas une barrière pour toi qui parlais anglais couramment. Ton sang ne fit qu’un tour. Pourquoi rester en France alors qu’ici tout le monde te voyais comme l’ignoble lesbienne qui avait déshonorée sa famille ? Qu’est ce que te retenais ici, à part le spectre de Lila ? Quitte à repartir de zéro, autant le faire correctement. Tu échangeas le riche collier de mariée que tu portais encore sur toi depuis le fameux évènement contre une place à bord du navire, ce que le capitaine accepta avec empressement. Il faut dire que le prix du bijoux était certainement bien plus élevé que celle de la place et une affaire comme celle si ne devait pas se présenter tous les jours.
Le voyage se fit sans incident notable et une fois en Angleterre, tu compris bien vite que construire un nouveau départ n’était pas une chose aisée. Encore plus pour une fille de bourgeois n’ayant vécue que dans le luxe et la paresse. Aucun bar, auberge ou hôtel ne voulait de toi comme employée. Il faut dire qu’entre l’allure de pouilleuse que tu avais, le CV des plus plat et le peu de motivation que tu avais à la tâche ne présageait rien de bons pour les potentiels employeurs.
Alors que tu désespérais un soir, guettant du coin de l’oeil les filles de joies et pleurant à l’idée de devoir faire comme elles, ton sauveur apparue devant toi. Enfin si l’on puis dire “sauveur”. Un des sbires de Maître Todd te laissa plus ou moins le choix fasse à un douteux contrat, dont tu n’avais pas vraiment la force de refuser. Si l’idée d'exhiber tes pouvoirs t’effrayait au plus haut point, la possibilité de ne pas faire les trottoirs londoniens pour gagner ta vie emporta rapidement tes quelques doutes et l’affaire fut régler.
Te voilà maintenant magicienne, flirtant avec l’eau, éblouissant petits et grands qui cherchent le “truc” sans jamais le trouver et qui repartent des étoiles pleins les yeux. Si tu n’avais pas autant de mépris pour ces gens riches dont tu envie la place à chaque instant, peut-être trouverais tu un semblant de bonheur dans ce cirque à l’allure étrange...
Caractère
Si l’on te croise au détour d’un chemin, tête relevée et visage impassible, comment deviner sous ton visage de marbre hautain que tu n’es qu’une fille perdue, hantant un cirque énigmatique et effrayant ? Tu sembles si sûre de toi, si dure, si glaciale. Tu es tel un roc, qu’un habile artisan a façonné pour créer une vision d’extase, éblouissante mais cassante. Tu sembles impénétrable, réfléchie. Presque sans vie. Qu’il est dur d’apercevoir le faible flot de sang qui coule sous ta peau, attestant ton appartenance au vivant. Lente, posée, mystérieuse, tu sembles être une apparition divine : belle, dangereuse, éphémère. Mais voilà, tu sembles. Ta vie se résume dans ces deux petits mots : tu sembles. Paraître est pour toi plus important que respirer. Point besoin d’air pour vivre, une bonne dose d’hypocrisie et de mensonge te suffises largement. Un masque de glace est venue se déposer sur ton visage il y a déjà bien longtemps et toi, pauvre sotte, tu appuis de toutes tes forces pour ne pas qu’il tombe. Tu vis avec, comme une deuxième peau, si pure, si parfaite, et tu esquisses un sourire chaque matin dans le miroir reflétant l’illusion. Mais dis moi belle demoiselle, combien de temps la supercherie durera t’elle ? Ton monde factice risque bien un jour de s’effondrer, emportant dans sa chute ton masque, tes illusions, tes mensonges, tes espoirs, ta vie… Tu n’en n'a que faire. Qu’il est bon de vivre dans l’irréel, de voir se refléter dans le regards des autres ton image, qui n’est pourtant pas toi. Tel un amas de poupées russes, tu caches bons nombres de facettes, bien protégées par une carapace inquiétante. D’apparence froide, manipulatrice, réservée et cruelle, tu n’es qu’une pauvre enfant fragile et seule, trouvant plus facile de fuir le monde plutôt que se battre pour y trouver sa place. Car lâche, ça oui tu l’es. Abandonner sans même avoir tenter de lutter, battre en retraite avant même que la guerre ne commence. Peureuse et anxieuse, derrière cette couche d’assurance, tu n’es qu’une bête effrayée qui sors ses griffes. Intelligente, réfléchie, prévisible, tu façonnes ton existence pour ne laisser aucune place aux surprises et aux catastrophes, tant et si bien que ta vie file, dégouline, morne et sans saveur, jour après jour identique. La boule de poil tapis au fond de ton coeur préfère l’incertitude, la joie, l’amour, mais tout cela est bien trop dangereux, laisses donc tout cela aux pauvres fous, fermes ton coeur à clé, métamorphoses toi pour n’être qu’une statue de glace solitaire et manipulatrice inspirant la crainte. Et si par mégardes ce flot de sentiment humain reprenais le dessus, arraches toi bien vite le coeur avant qu’il ne soit trop tard ! Céleste, tu n’es qu’une pile d’illusions, étouffant un peu plus chaque jour la vérité. Tout en bas du tas, presque imperceptible, vivotant par on ne sait quel miracle, se cache la plus honteuse de tes vérités : ton homosexualité. Mais le vent se lève, fais attention petite, ton masque pourrais s’envoler.
Physique
Tu es une belle gamine, personne ne pourrait le nier. Grande, mince, à la démarche chaloupée, tu sais plaire et faire naître cette étincelle de désir dans les yeux des hommes. Ta taille de guêpe ne fait que magnifier la forme de tes hanches et de ta poitrine, dont tu n’es pas peut fière, petite arrogante. Tes longues jambes frêles te portent avec grâce, mais sont si fines qu’on a peur qu’elles ne se brisent à chaque coup de vent. Tes bras minces et tes doigts aux longs ongles vernis viennent ajouter une touche à cette allure gracieuse mais fragile. Oh oui, tu sais jouer de tes charmes, y’a pas à dire. Tes longs cheveux châtain dégoulinent le long de ta mâchoire carré, presque masculine, en une rivière soyeuse, et tu te plais à les laisser tel quel, sauvages et pleins de noeuds, tranchant avec cette allure si féminine. Tes sourcils broussailleux surplombent tes jolis yeux fins en amandes, que l’on verrait à peine si ils n’étaient pas d’un gris-vert glacial mais captivant. Ton nez rond et étalé se dresse fièrement au dessus de ta fine bouche rosée, qui se déforme rarement en un tendre sourire. De nombreux grains de beauté parsèment ton corps et tu tentes en vain de les cacher sous diverses pièces de tissus.
HRP
Comment veux-tu qu'on t'appelle? : Alice sinon on peut me siffler aussi Tu as quel âge? : 17 cacahuètes Tu habites dans quel coin de la planète? : en France, dans le 49 Qu'est-ce qui te passionne? : le théâtre , l'écriture et la chimie. Un mot pour te décrire serait... : contradictoire Un Smiley qui te représente...: Le code de validation est...: validé par there Comment as-tu connu The Dark Circus? : via un autre forum
SI LE PERSONNAGE EST UN SCENARIO/PV: [url=url du predef ici]nom du predef[/url]
à remplir:
Code:
[color=#993300]TAYLOR MARIE HILL[/color] ✞Céleste Leah Withinghall
Dernière édition par Céleste L. Withinghall le 2015-02-14, 17:34, édité 1 fois
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❝ Eleonore C. Roderich ❞
Dummy Puppet
Temps de jeu : Mesquine
Sujet: Re: naïa ϟ we stopped looking for monsters under our beds when we realized they were inside us 2015-02-12, 15:51
Bienvenue au cirque ! \o/
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: naïa ϟ we stopped looking for monsters under our beds when we realized they were inside us 2015-02-12, 16:28
merci
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❝ Theresa C. Roderich ❞
Fleish
Rôle : Fleish Emploi : jongleuse À savoir... :
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your skin
Sujet: Re: naïa ϟ we stopped looking for monsters under our beds when we realized they were inside us 2015-02-13, 22:51
une autre Withinghall ö bienvenue ici ! \o/ si t'as des questions, je suis là pour ça! :D
Sujet: Re: naïa ϟ we stopped looking for monsters under our beds when we realized they were inside us 2015-02-14, 12:11
j'avais même pas vu qu'il y en avait sur le forum o.O je prends ce nom de famille régulièrement en rpg et j'ai pas vérifié... merci non non, il me manque l'histoire, que je me dépêche de finir :3
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❝ Theresa C. Roderich ❞
Fleish
Rôle : Fleish Emploi : jongleuse À savoir... :
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Sujet: Re: naïa ϟ we stopped looking for monsters under our beds when we realized they were inside us 2015-02-14, 12:40
ouiii! c'est notre petit Lysander qui porte ce nom de famille <3 je l'ai mp pour savoir si ça le dérangeait. j'attends sa réponse et je t'en donne des nouvelles - ou peut-être même va-t-il venir te parler de lui-même je sais pas :3 PEUT-ÊTRE AS-TU UN FRÈRE ET TU LE SAVAIS PAS. *sort*
bref ~ si Lyly donne pas de réponse rapidement je vais quand même te valider... mais peut-être devras-tu changer ton nom de famille s'il n'est pas d'accord ^-^ (on laisse priorité aux anciens, évidemment :p)
sinon j'ai hâte de lire ça et courage pour ta fichette
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: naïa ϟ we stopped looking for monsters under our beds when we realized they were inside us 2015-02-14, 13:04
oui normal y'a pas de soucis ! je finis ça viiite
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❝ Maître Todd ❞
Maître de Cérémonie
Rôle : Maître de Cérémonie
Sujet: Re: naïa ϟ we stopped looking for monsters under our beds when we realized they were inside us 2015-02-14, 17:50
Vous êtes engagé(e)!
Bienvenue dans mon cirque
Et bien, belle petite Naïa, on dirait que la chance vous sourit enfin... Bienvenue dans mon cirque!
Maintenant que vous pouvez visiter le site à votre guise, je vous offre quelques pistes pour vous accoutumez rapidement à l'endroit. Je vous conseil tout d'abord d'aller vous faire une fiche de liens ainsi qu'une fiche de topics, question d'offrir vos services et disponibilités à tous mes employés. Le modèle proposé n'est pas obligatoire, néanmoins vous posterez vos fiches et consulterez celles de vos partenaires ici. N'oubliez pas non plus d'aller recenser votre métier ici pour éviter les doublons!
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: naïa ϟ we stopped looking for monsters under our beds when we realized they were inside us 2015-02-14, 18:53
Bienvenue sur DC, jolie personnage! :D
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: naïa ϟ we stopped looking for monsters under our beds when we realized they were inside us 2015-02-15, 04:18
merci toi
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: naïa ϟ we stopped looking for monsters under our beds when we realized they were inside us 2015-03-02, 05:40
Comme dit en tant qu'invité, cela ne me gêne aucunement, donc tu peux le garder ! Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: naïa ϟ we stopped looking for monsters under our beds when we realized they were inside us
naïa ϟ we stopped looking for monsters under our beds when we realized they were inside us