Il est impossible de ne pas remarquer les immenses et sombres grilles qui font office de porte d'entrée au Dark Circus lorsque vous marchez sur la rue Greenwich. Elles sont verrouillées la nuit.

Une allée calme en général, quoi qu'assez occupée. On y trouve des logements, quelques commerces insignifiants, le cirque, et surtout un pont imposant pour piétons, véhicules de promenade et calèches.

De la verdure, des bosquets, des fleurs, des fontaines et leurs statues. Des saules pleureurs, une rivière aux cygnes et de rares passants amoureux. Il ne faut pas oublier ce ciel nuageux et ce brouillard, toujours là...

C'est une auberge vieille mais tout de même très bien entretenue. Le barmaid de la place est très sympathique - quoi qu'il vous ignore complètement - et attire grandement la clientèle.

Vous y trouverez de tout, ou presque. C'est l'endroit idéal pour dépenser votre paye en objets et produits de consommation de toutes sortes. Pour les lécheurs de vitrine et les cambrioleurs audacieux...

Plutôt humble, comme théâtre. Rien à voir avec la splendeur du cirque: une pièce pouvant contenir une trentaine de personnes et un écran à projection noire et blanche grinchant fortement.

Une odeur de vermine s'y dégage et vous repousse. Des ordures jonchent le sol, entre les abandons et les chiens malades. C'est le coin des truands par excellence.

Ne prenez pas pitié de ces jeunes affamés: vous ne pouvez rien pour eux de toute façon. Et Londres dans ses bas quartiers vit selon les lois de la jungle. L'orphelinat en est la preuve.

C'est une attraction bien répugnante, certes, mais tout de même disponible. Rien n'empêche au public d'aller faire un tour dans ce chaos, dans ces salles bourrées de cris et de démence...