Sujet: Duncan L. Darwin Alias "The Wolf" 2014-04-06, 13:50
Duncan L. Darwin
feat . Benicio Del Toro
Informations
Quel le nom qu’on te donne au cirque? : The Wolf À quel groupe appartiens-tu? : Monstre de foire Quel est ton nom complet? : Ici Duncan Lee Darwin Quel est ton travail? : griser de terreur le public en errant dans les allées du cirque ou lors de mes représentations sous le chapiteau (je participe à des numéro de dressage où je joue bien évidement le rôle de la bête fauve) Qu’est-ce qui t’as poussé à vouloir faire ce travail ? : Je fuyais ceux qui me poursuivaient pour faire de moi un trophée de chasse. Le cirque m’a offert la sécurité d’un havre et le confort d’un abris. En quoi tu te démarques des autres spécimens de ce cirque ? : M’avez-vous bien regardé ?
Histoire
12 Mars 1897 - conté de Knighton à la frontière de l’Angleterre et du pays de Galles. Ma mère me mit au monde ce matin là. Mais alors que j’entrais dans la vie, je la poussais bien malgré moi vers la mort. Ma naissance lui fut fatale et laissa mon père en proie à une bien triste amertume. A peine le rêve d’une famille s’accomplissait il que l’instant d’après il lui était arraché de la manière la plus naturelle et cruelle qui soit. Mon enfance ne compta aucun évènement extraordinaire. J’étais un Darwin, digne fils d’une ascendance respectable et fortunée. Trois années s’écoulèrent avant que mon père reprit une compagne qui se montra douce et aimante à mon égard. Aurai-je pus espérer la naissance d’un demi-frère ou d’une demi-sœur ? … certes non, mon père redoutait bien trop de perdre une fois encore la femme qu’il avait choisie. Je grandissais donc ainsi, fils unique auquel on offre la meilleure éducation de précepteurs éclairés. Puis vint le temps où l’enfant devient homme. Promit à un brillant avenir mon père insista pour que j’intègre l’école de médecine de Birmingham où j’obtenais sans difficulté mon doctorat avant de revenir vivre à ses cotés vers l’âge de 25 ans avec une femme magnifique et une situation sociale on ne peut plus enviable. Ma vie semblait suivre son cours d’une manière paisible. Ma jeune femme m’offrit alors la joie d’être le père d’une petite fille que l’on nomma Andréa en souvenir de ma défunte mère. Que pouvais-je demander de plus au seigneur ? … peut être que ce qui allait être mon destin soit finalement autre. J'avais à l'époque une grande passion pour la chasse, je mise adonnais à chaque fois que le temps libre ne permettait. C'est lors de l'une de ces escapades Sylvestre Solitaire, que mon chien leva la piste d'un loup énorme qu'il laissait de profondes empreintes dans l’humus. La bête semblait me précéder de quelques centaines de mètres. Obnubilé par la traque je ne vis pas le crépuscule s'emparer de la forêt où je me retrouvais maladroitement perdu. Je ne compris que bien trop tard que c'est moi qui étais devenu la proie du prédateur je poursuivais quand mon limier détala la queue entre les jambes et les oreilles basses. J'ai beau le siffler de toutes mes forces il ne fit pas demi-tour et je me retrouvais seul avec cette désagréable sensation d'être observé dans l'obscurité. Sous la lueur pâle de la lune pleine et ronde, tout se passa alors très vite. En un éclair une masse noire jaillit dans mon dos et me plaqua au sol avant d'enfoncer un râtelier de crocs luisant dans la chair de mon épaule. J'eu beau me débattre en hurlant, la bête immonde qui me tenaillait de ses poignards d’ivoire ne desserra pas son étreinte brutale. Je crus mon heure fatidique arrivée, mais en me réveillant au petit matin sur le lit de mousse drapée de brune où j’avais été renversé la veille au soir, je compris que je n'étais finalement pas mort. peut être alors aurait il mieux fallut. La plaie béante qui me déchirait l'épaule me prouva que je n'avais pas rêvé cette attaque. Mais étrangement à mesure que mes pas me ramenaient au manoir familial, la douleur atroce qui en résultait me semblait moins intense. A vrai dire avec une blessure de cette taille et le sang perdu en abondance dans le sous bois, il m’aurait normalement été impossible de me trainer jusqu’en lieu sûr. Je fis néanmoins venir un confrère médecin qui me prodigua les premiers soins d'urgence et une injection anti rabique. Je restais alité plusieurs jours le temps que la fièvre et les cauchemars qui m’assaillaient ne se dissipent. Dans un premier temps le plus surprenant fut ma capacité à me remettre de cette attaque bestiale. Mes plaies cicatrisaient à une vitesse inouïe. J'étais en une semaine capable de recouvrir la parfaite mobilité de mon épaule tandis que je voyais la force physique et l'acuité de mes sens devenir bien plus développés. 29 jours passèrent et j’en eu presque oublié l’incident. Mais alors qu’une fois encore l’astre d’opale gravissait le firmament pour irradier sa lueur blafarde aux travers des carreau de ma chambre a coucher, je ne parvenais pas a trouver le sommeil. Une pulsion de rage semblait tambouriner dans mon corps autant que dans mon esprit. J’éprouvais une faim morbide de viande crue et de sang frais j’en étais effrayé et je quittais le confort tiède des draps où ma chère et tendre dormait paisiblement. Rendu sur le balcon pour prendre l’air frais de la nuit je me retrouvais face à la vierge d’argent cruelle et sublime. C’est là que je compris que ce qui m’était arrivé un mois plus tôt dans la forêt n’avait été qu’un simple accident de chasse. Alors que je ne pouvais décrocher mon regard extatique de l’astre nocturne je senti mes entrailles, mon crâne, mon cœur et mon âme basculer dans les tréfonds d’une animalité sauvage et enragée. Tout les os de mon corps craquèrent horriblement et je fut mis à bas par l’incommensurable douleur qui me brûlait intégralement. J’eu été précipité dans les flammes infernales que le tourment n’aurait pas été plus terrible alors. Ce fut le blackout. Quand le grand Helios réchauffa mon corps je m’éveillais éberlué, perdu, et nu au beau milieu d’un champ non loin du manoir de mes aïeux. Que faisais-je ici ? Pourquoi mes mains étaient couvertes d’un sang qui de toute évidence ne m’appartenait pas ? Que m’était il arrivé ? Qu’avais je donc fais cette nuit ? La vérité fut une horreur que je me serais bien passé de découvrir… De retour dans le manoir familial je découvris une boucherie atroce, un massacre immonde. Ma famille entière avait été décimée de la manière la plus sauvage et brutale qui soit. Ma femme, ma fille, mon père, sa femme, … tous … tous morts, éventrés, lacérés, déchiquetés … ça et là gisaient les lambeaux de ceux que j’aimais le plus au monde. Ma vie venait d’être anéantie. Et j’étais l’unique coupable de cette tuerie. Mon dieu aidez moi. Qu’avais je donc fait au ciel pour qu’il me punisse de a sorte ?!!! Les autorités ne tardèrent pas à me placer en tête de liste des suspects malgré l’incommensurable brutalité sauvage de ce massacre. Je ne parvenais pas moi-même à y croire. Je m’y refusais. Je les aimais, je n’ai jamais levé la main sur aucun d’entre eux. Comment aurai-je pu leur faire un centième de ce qu’il leur était arrivé. Tout cela me semblait être un affreux cauchemar que j’aurai vécu éveillé. Mais je du me rendre a l’évidence à la pleine lune du mois suivant. Une fois encore une terrible impétuosité bestiale s’empara de moi au milieu de la nuit. Et comme la fois précédente je m’éveillais agar et désorienté au milieu de mes terre. Mais en plus de la vitae qui maculait mes vêtements déchirés, j’avais entre les mains, tel un fauve qui garde jalousement son butin, la tête arrachée d’un homme. Pétrifié, je rejetais loin de moi l’abomination. Mais je ne pouvais plus ignorer ce que j’étais. C’était bien moi qui avait commis le meurtre d’une atrocité sans nom de ceux que j’avais tant aimé. Je ne pouvais plus aspirer à la vie que j’avais menée jusqu’ici alors. Plongeant dans l’anonymat, je quittais les privilèges et le confort de mon rang social pour battre la campagne, poursuivit par la police qui avait retrouvé là où je l’avais jeté la pièce manquante de ma culpabilité et du corps du pauvre paysan que j’avais décapité cette nuit là. Mon exode fugitive dura ainsi presque 10 longues et fastidieuses années. Je redoutais à l’approche de chaque cycle lunaire que tout cela ne recommence encore et encore. Combien de personne ai-je pus tuer ? combien d’innocent ai-je massacré ? Je crois qu’il vaut mieux que je l’ignore. Peut être est ce pour cela que je tremblais d’ouvrir les journaux. Redoutant qu’il y soit placardé qu’une personne avait été massacrée la nuit précédente. J’étais devenu un paria, une aberration de la nature, un démon errant sans autre but que d’assouvir ses plus bas et violents instincts. Pendant ces années de fuite perpétuelle j’eu cent fois envie de m’ôter la vie pour que tout cela cesse. J’étais épuisé de courir seul, poursuivit bien plus encore par cette malédiction que par les autorités. Mais à croire que la bête immonde qui dormait en moi m’interdisait de me rendre ou d’intenter a ma vie. L’animal et son instinct de survie avaient la dent dure. Je n’eu d’autre refuge pour contrer les assauts de la bête que de m’attacher volontairement avec des chaines d’aciers à un rocher énorme. Cela ne fonctionna qu’une poignée de mois. Bien vite les chaînes bien trop sollicitées cédèrent et les réveils sanglants reprirent de plus belle. Il me fallait trouver des gens capables de m’aider. Je ne connaissais personne souffrant comme je souffrais. Je ne voulais plus tuer. Je ne voulais plus semer le chaos, la mort et la désolation sur mon passage. Mes prières furent elles entendues par le très-haut ? eut il enfin pitié de moi ? Toujours est il qu’un jour je croisais la route d’un cirque itinérant. Un campement de ces forains, gypsy, et autres marginaux aux allures aussi hétéroclites qu’inquiétantes. Je sollicitais un entretiens avec le directeur de cette troupe et je lui exposais sans fard ni détour ce que la vie avait fait de moi. Sa perplexité dubitative fut soulagée quand le soir de la pleine lune je lui demandais de bien vouloir m’enfermer a double tour dans la cage la plus solide de sa ménagerie. Il put voir de ses propres yeux que je n’étais en rien un fou ou un simulateur. Comme a chaque fois la bête fit son apparition et tempêta entre les barreaux sans parvenir à s’en libérer. Le lendemain il me proposa un contrat qui me sembla un pacte bien plus doux et salvateur que l’enfer que je vivais depuis des années. Les gens paieraient sans rechigner pour voir le monstre. Libre a eux de croire que ce n’était qu’un subterfuge pour les abuser et les faire frémir. Moi au moins j’étais au sein d’une « famille » qui saurait prendre soin de moi et me protéger des exactions violentes de la bête qui dormait en moi. Maître Todd, puisque c’était le nom du directeur, voyais néanmoins d’un œil déçu le fait que je ne puisse me produire qu’en cage d’acier et une seule fois par mois ; le Cirque donnait des représentations hebdomadaires et il ne souffrait pas que l’un des ses « artistes » ne puisse lui rapporter qu’aussi rarement dans le mois. Il fallait que je montre la bête plus souvent, que je la laisse s’échapper de la cage de chair qu’était mon corps plus souvent. Cela m’effrayait terriblement. Comment pouvais-je contrôler le monstre ? comment pouvais-je lui ordonner de se montrer alors que je ne pouvais lui donner aucun ordre puisque je n’étais pas conscient de mes faits et gestes quand elle était libérée … la solution vint d’une vieille gitane qui étudia mon cas et déclara que le loup qui vivait en moi avait une sainte horreur de l’argent … non pas la devise monétaire .. Mais bien le métal précieux luisant comme la lune. Elle me proposa une expérience à laquelle j’acceptais de me soumettre a condition d’être emprisonné dans ma cage. Elle me piqua le bras avec une dague faite de ce métal précieux et la réaction ne se fit pas attendre. Le monstre qui dormait en moi se réveilla effectivement pour se défendre de cette attaque. Mais la transformation était partielle. J’étais certes devenu le loup-garou redoutable qui terrifierait les visiteurs du Dark Circus, mais je n’étais pas aussi féroce que celui qui surgissait sous la pleine lune. Etrangement, sous cette forme relative, j’avais encore ma conscience et le souvenir de l’humain que j’étais. C’était une sensation troublante et grisante à la fois. Je n’étais néanmoins pas en totale confiance, je sentais le gout du sang être appelé par mes sens et je redoutais qu’une fois sortit de cette cage, je me jette sur la première personne qui passerait à portée de mes griffes. Il me fallait trouver une garantie supplémentaire pour me permettre de sortir de ma cage. Mes connaissances en médecine et en pharmacologie vinrent à ma rescousse. Je me souvins que certaines drogues étaient utilisées pour contraindre les déments au calme et à la pondération. Il s’agissait en l’occurrence de l’opium et certains champignons ayant des vertus anxiolytiques. Je me lançais donc dans la préparation de ce savant remède et j’en fumais une bonne quantité avant de faire ressortir la bête avec la dague d’argent. La mutation monstrueuse mit un peu plus de temps mais au final je parvins à être sous mon apparence terrifiante tout en gardant un relatif contrôle de la bête. Le stratagème semblait fonctionner. Mais pour combien de temps ? Ainsi depuis quelques semaines je possède la faculté de déambuler dans le cirque sous ma forme monstrueuse, embrumé dans les moiteurs psychotrope et adoucissante de mon petit remède singulier. Je reste, je le sais néanmoins, terriblement dangereux et je suis contraint de me faire enfermer dans ma cage les nuits de pleine lune. Sans quoi, cette joyeuse troupe de freaks et son public enthousiaste pourraient bien finir dans un bain de sang.
Caractère et Tempérament
Duncan Lee Darwin est un homme torturé par ce qu’il vit et surtout par ce qu’il est. Fils de bonne famille, il a reçu une éducation exemplaire lui octroyant la finesse d’un langage châtié et la bienséance de mœurs du beau monde. Il est cultivé et raffiné, il aime les discussions profondes et les échanges de points de vus intelligents. Quand le temps libre lui permet, il apprécie l’écoute des chef-d’œuvres de la musique classique et les lectures des grands romans d’auteurs. Duncan est un homme qui a toujours été a l’écoute de son prochain et à qui l’on peut attribuer une certaine empathie (ses études de médecine y sont probablement pour quelque chose) D’autre part, Duncan aime la compagnie des femmes qu’il perçoit comme étant égale en droits à lui-même. Loin d’être un coureur de jupon ou un « m’as-tu vu » il pense simplement que leur douceur et leur sensibilité naturelle fait d’elles des créatures que l’on gagne a fréquenter. Bien qu’il soit issue d’une classe supérieure de la société anglaise, il n’a pas de goût luxueux particulier. Cela est surement dût au dénuement dont il a souffert pendant de nombreuses années alors qu’il fuyait sur les routes du royaume. Ceci étant Il met un point d’honneur a toujours s’afficher sous son meilleurs jour et dans des tenues propres et agréables a porter. Apres tout il a beau vivre dans une compagnie itinérante cela ne lui empêche pas de prendre soin de bien paraître. Car oui au final toutes ces avenantes précautions sont la compensation de ce qu’il sait cacher bien malgré lui au fond de lui-même. Car autant la facette policée et aimable de Duncan est un ravissement de fréquentabilité, autant son autre « personnalité » est aux antipodes du flegme anglo-saxons. Duncan Lee Darwin est un vrai gentleman, mais son monstre intérieur est une créature abjecte et violente qui ne fait aucun discernement entre le bien et le mal. Le loup vorace et terrifiant qu’il habite est un concentré d’instincts bestiales qui pourra considérer comme proie offerte en pâture n’importe quel être humain, qu’il soit juste ou vilain, innocent ou pendable.
Caractéristiques Physiques
Duncan n’est pas un séducteur même si ses manière sont séduisantes. Il porte des toilettes raffinées digne d’un Lord Anglais : chaussures impeccablement cirées, pantalons à pinces toujours repassés, des vestes et des manteaux plutôt classes auxquels il adjoint parfois un chapeau légèrement incliné sur sa tête et une canne de convenance renforçant la délicatesse de ses manières. Pour ce qui de ses traits, Duncan est un homme qui affiche clairement la quarantaine : des rides dues à l’anxiété acquise au fil des ans et des péripéties de la vie qui fut sienne, quelques cheveux poivre et sel respactibilisant son allure et son profond regard noisette exprimant la sensibilité et l’intelligence de son intellect. Duncan a la rassurante tessiture grave d’une voix d’homme puissant et stable. Son corps massif inspire le respect sinon la méfiance. Plutôt grand et imposant il est de ces hommes qui font que l’on se retourne sur leur passage tant leur carrure attira notre attention. Au final, quand l’on aperçoit ou que l’on s’entretient avec Duncan Lee Darwin, on penserait plus qu’il est l’un des visiteurs du cirque plutôt que l’un de ses protagonistes.
H R P
Comment veux-tu qu'on t'appelle? : Duncan/ Donny / gros louloup ^^ Tu as quel âge? : arf .. c’est là que le bas blesse, je suis certainement le doyen de ce forum … j’ai … 34 ans (le premier qui m’appelle « papa » ou pire « papy », je lui colle une fessée, privé de dessert, tu files dans ta chambre !! XD Tu habites dans quel coin de la planète? : west coast !! Qu'est-ce qui te passionne? : les créatures effrayantes, l’humour noir, le rock, et mon petit monde imaginatif ^^ Un mot pour te décrire serait... : « délirant » Un Smiley qui te représente...: Le code de validation est...: Approuvée par la magnifique Charlie :D Comment as-tu connu The Dark Circus? : grâce a un partenariat Que penses-tu du Dark Circus? : un contexte tres attirant (c’est bien pour ça que je suis là^^) et un graphisme qui donne envie de s’y attarder. Bref ya de quoi passer de très bon moments ;)
Code:
[color=#C96A3E]Nom de la Célébrité : Duncan Lee Darwin [/color][i]alias[/i] Benicio Del toro
BOOGYLOU.
Dernière édition par Duncan L. Darwin le 2014-04-06, 14:23, édité 2 fois
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Duncan L. Darwin Alias "The Wolf" 2014-04-06, 14:01
Vous avez pas vu mon papa ? # Papa Sinon à part ça, il est juste trop comme on en avait parlé sur la cb& par mp donc bon ... Parfait! Et j'ai déjà des idées de liens machiavéliques, un homme musclé & poilu; mon dieu! >o<
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❝ Theresa C. Roderich ❞
Fleish
Rôle : Fleish Emploi : jongleuse À savoir... :
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Sujet: Re: Duncan L. Darwin Alias "The Wolf" 2014-04-06, 14:02
Okay mais Benicio Del Toro... C'est juste parfait comme avatar o.o je l'ai juste BEAUCOUP TROP aimé dans Snatch xD
bienvenue officiellement ici :han:je te valide dans moins de 2 ^¸^ je remarque un énorme bug sur ta fiche >.> je vais essayé de réparer ça ça doit être le css qui fait sa pute.
puis je lis tout ça par la suite! je me dépêche
EDIT
j'ai regardé et le problème se trouve vraiment dans ta fiche... >.> bon c'est pas grave! ^¸^ je vais quand même lire hein!
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Duncan L. Darwin Alias "The Wolf" 2014-04-06, 14:05
*fait une révérence et un petit sourire*
Merci a vous deux :)
oui j'ai remarqué le bug ^^ j'espère que tu sauras nous en dépatouiller.
*bien content que la fiche plaise*
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❝ Theresa C. Roderich ❞
Fleish
Rôle : Fleish Emploi : jongleuse À savoir... :
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Sujet: Re: Duncan L. Darwin Alias "The Wolf" 2014-04-06, 14:13
J'ai adoré ton histoire je dois vraiment filer et ça presse xD je peux pas te valider maintenant... je demande à Charlie de le faire :p
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Duncan L. Darwin Alias "The Wolf" 2014-04-06, 14:24
c'est bon j'ai trouvé ^^ c'était le gif en fin de partie "histoire" qui était trop large ^^ voila qui est réglé. bonne lecture.
t'en fais pas pour la validation je suis pas aux pièces . :P
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❝ Maître Todd ❞
Maître de Cérémonie
Rôle : Maître de Cérémonie
Sujet: Re: Duncan L. Darwin Alias "The Wolf" 2014-04-06, 14:38
C'est parfait... Vous êtes engagé(e)!
Bienvenue dans mon cirque
Bienvenue, The Wolf!
Dès que je vous ai vu, j'ai su que vous seriez une atout à mon cirque. Un talent aussi brute que le vôtre, si... animal ne peut pas être gaspillé dans la nature. Soyez le bienvenue dans cette étrange famille que nous formons tous et chacun. J'attends de vous d'être une des merveilles de ce cirque, soyez la bête que saura intriguer et effrayer les clients de notre cirque.
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